L'évolution vue par un enfant

Invité Dim 22 Avr - 8:19

L'évolution vue par un enfant

Nous n'étions que de simples paysans lorsque nos contrées se firent envahir par un peuple barbare qui maîtrisait des forces que nous ne soupçonnions pas. Ce jour-là j’allais vendre nos maigres récoltes dans la capital, en effet nous n’étions pas très riches car nos terres n’était ni très grandes ni particulièrement fertiles. La guerre ravageait notre vie depuis déjà 3 lunes, mais la contré où je vivais n’avait jamais était inquiété par la guerre. Jusqu'à ce jour, le jour où je vendais mes tomates 2 pièces de cuivres le panier. Au moment où je concluais avec une mégère qui tentait de négocier un bruit se fit entendre, un bruit assourdissant comme personne n’en avait jamais entendu. Les soldats de la ville ont tout de suite fermé les portes bloquant ainsi toutes les personnes à l’intérieur, je ne fis pas exception à la règle malgré mes nombreuses suppliques aux gardes pour aller rejoindre ma famille et m’assurer de leur bonne santé. Par la suite des sortes d’oiseaux faits de métal, comme celui que l’on utilise pour faire des épées, sont passés au-dessus de nos têtes. Ils avaient du feu qui sortait de leur gosier ou de ce qui en tenait place, du moins c’est ce que je pense. Alors un vieux compte que m’avait raconté ma grand-mère me vint à l’esprit, il parlait de dragon terrifiant et la description qui y était faite collait parfaitement à ce que je voyais. Prit de panique je courus vers l’autre côté de la cité pour essayer d’atteindre d’autres portes qui étaient peut-être restées ouvertes. Après avoir vérifié toutes les portes que je connaissais pour sortir de la cité, mon désespoir fut certains. Je ne pouvais pas aller prévenir mes proches de l’arrivé de nombreux dragons et j’étais près du palais royal. Terrassé par la tristesse et le désespoir je me suis mis en boule et j’ai commencé à pleurer toutes les larmes de mon corps. Au bout d’un moment, je ne pourrais pas dire combien, une personne me prit dans ses bras tout en me murmurant une comptine à l’oreille. Quand je me suis réveiller quel fut ma surprise de me trouver dans des draps très doux et un lit rembourré de laine et non pas de noyau comme chez moi. Tout me semblait très beau et brillant, mais est-ce le paradis ? Non il ne me semblait pas que j’étais mort, ou du moins je n’aurais ressenti aucunes douleurs et cela est peu probable. Cependant une dame me regardait ; elle était vêtue comme une reine, de nombreux bijoux mais qui restaient sobres avec une robe qui se voulait plus noble que toutes les robes qu’il m’avait été donné de voire. Mais ce qui me faisait penser cela était surtout se prestance. Je voyais comme une sorte d’aura de puissance se dégager d’elle. Tout me semblait pour le mieux vu qu’elle me souriait d’un visage réconfortant. Soudain elle m’expliquait comment elle m’avait sauvé, et quel aurait été mon sort si elle ne l’avait pas fait. Elle m’expliqua que j’avais dormi 2 jours et qu’en dehors des murailles tout était ravagés. En version courte, mes parents étaient morts. Mais elle m’éleva comme son fils. D’ailleurs des rumeurs couraient sur le fait que la reine aurait été stérile, et c’est ce qui expliquerait qu’elle m’adopta. 15 longues années passèrent, et pendant tout ce temps notre peuple apprenait que le fléau ne pouvais nous atteindre dans nos murailles et que c’est grâce à un ancien peuple qui l’avait érigé et don nous sommes les descendants, ce peuple fut nommé les Anciens. Ce que notre peuple avait appelait magie dans un premier temps, fut rebaptisé science. Ce que j’avais appelé Dragon, n’était en fait qu’un astronef envoyer par un autre peuple d’une autre planète et qui voulais nous coloniser. En l’espace de 15 ans notre mode de vie à évoluer du tout au tout. Nous somme passer d’un peuple qui se défend avec des arbalètes et qui se protège derrière des murs de pierres à un peuple muni de canon laser et de solides infrastructures faites de résines ultra résistantes et qui ont la propriété de ne pas être atteintes par les armes thermiques. Mais tous ces progrès ne furent possibles seulement grâce à une bibliothèque des Anciens qui concevrait tout ce dont nous avions besoin pour nous défendre face aux envahisseurs. C’est comme si la bibliothèque mettait à notre disposition la petite partie des connaissances qui y était emmagasinés, de façons à ce que nous ne craignons pas nos assaillants. J’étais enfin devenu un historien de renom mondial, mais mon gouvernement me demanda de forcer la bibliothèque à me livrer tous ses secrets. N’étant pas fou je les aie alors entretenue du risque que cette action pouvait avoir. Mais suites aux nombreuses invasions notre peuple pour survivre avait dû instaurer une dictature, et donc il me fut donner l’ordre de cracker la bibliothèque. La tache fut rude, mais se solda par un succès. Ou du moins c’est ce qu’il me semblait, alors j’ai eu accès à une immensité de connaissances, ce que nous connaissions ne représentait qu’une infime fraction de ce que contenait cette bibliothèque. Et ce qui m’intéressait le plus était bien évidemment le journal qui consignait l’histoire des Anciens. J’ai alors compris que ce que mon peuple avait appris en l’espace de 15 ans il avait fallu aux anciens des Siècles pour le développé. Mais ma surprise fut encore plus grande quand il me fut exposé que les Anciens s’étaient suicider en laissant place à leur race primitive c'est-à-dire la branche primitive de l’évolution darwinienne et qui de surcroit n’avait pas accès à la technologie, mais qu’elle leurs serait apporter en cas de besoins majeurs. Le manifeste s’achevait par une note décrivant la destruction totale de notre espèce, car la bibliothèque avait été forcée.

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